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Reconnaissance des compétences des travailleurs en emploi

Le CSMO traite directement les demandes des manufacturiers. Après l’analyse du dossier, un chargé de projet se rend rapidement chez l’employeur. Il rencontre la direction, le responsable des ressources humaines, le représentant des travailleurs, le compagnon désigné et les employés visés. Texte

Chaque employé pressenti se fait ensuite évaluer sur son niveau de maîtrise des compétences si le poste qu’il occupe touche l’une des six normes professionnelles (peintre-finisseur, rembourreur, ébéniste, assembleur de portes et fenêtres, opérateur de machines industrielles et couturier de meubles) conçues par l’industrie ces dernières années, sans oublier la norme professionnelle Compagnon élaborée par la Commission des partenaires du marché du travail (CPMT).

L’appréciation des capacités du travailleur se fait à l’aide du carnet d’apprentissage (grille des compétences reliée à la norme professionnelle). Le participant doit accomplir des tâches dans son milieu de production, en respectant certains critères de performance prévus dans la norme professionnelle, s’il veut obtenir l’attestation ou le certificat de compétences.

Reconnaissance des compétences des travailleurs sans emploi

Le Comité sectoriel de main-d’œuvre (CSMO) s’occupe aussi de la reconnaissance des compétences des travailleurs sans emploi dans les industries des portes et fenêtres, du meuble et des armoires de cuisine. Texte

Un candidat sans emploi intéressé par la reconnaissance s’adresse à un bureau d’Emploi-Québec. Si le demandeur répond à certains critères, il est dirigé vers un consultant qui est chargé de documenter ses réalisations sur le marché du travail en regard de son métier. Après quoi, le Comité sectoriel de main-d’œuvre nomme une entreprise susceptible d’évaluer le niveau de maîtrise des compétences en utilisant le carnet d’apprentissage, des exercices, des tests et des stages au besoin.

Ressource :
Christian Galarneau
Directeur général
514-890-1980