Fondé en 1994, le Comité sectoriel de main-d'œuvre (CSMO) est un organisme sans but lucratif financé par Emploi-Québec qui agit sur la base de la concertation patronale-syndicale.
Le Comité sectoriel offre un soutien aux entreprises dans le développement de la main-d’œuvre dans les secteurs des portes et fenêtres, du meuble, des armoires de cuisine, de l’ébénisterie et des produits de verre intégrés au bâtiment.
De plus, le Comité sectoriel de main-d’œuvre fait la promotion de l’emploi dans l’industrie et assure la veille des besoins du marché du travail touchant l’évolution des compétences des métiers actuels et futurs. Il participe à l’adaptation des programmes de formation dans le réseau scolaire, le programme d'apprentissage en milieu de travail, et contribue au perfectionnement de la main d'œuvre en emploi. Ce qui contribue à orienter les mesures gouvernementales.
Avec ses partenaires, le CSMO propose aux manufacturiers des outils, des ressources et des solutions pouvant répondre aux préoccupations d’attraction, de recrutement, de rétention, d’adaptation de la main-d’œuvre, de formation et de gestion RH.
UNIFOR (FTQ)
ASSOCIATION DE VITRERIE ET FENESTRATION DU QUÉBEC (AVFQ)
ASSOCIATION DES FABRICANTS DE MEUBLES DU QUÉBEC (AFMQ)
REPRÉSENTANT NATIONAL – UNIFOR
ASSOCIATION DES FABRICANTS ET DÉTAILLANTS DE L’INDUSTRIE DE LA CUISINE DU QUÉBEC (AFDICQ)
CONSEILLÈRE SYNDICALE-CSD
CONSEILLER EN INTERVENTION SECTORIELLE DIRECTION DU DÉVELOPPEMENT DES COMPÉTENCES ET DE L’INTERVENTION SECTORIELLE SECTEUR EMPLOI-QUÉBEC MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L’EMPLOI ET DE LA SOLIDARITÉ SOCIALE
Bénéficiez de ressources, d’outils, de subventions à la formation, d’un soutien dans l’analyse des besoins et d’un réseau de partenaires dans vos démarches RH.
Le Comité sectoriel intervient dans quatre principaux champs d’action.
Nous offrons plusieurs ressources aux entreprises participantes.
Vous voulez former vos travailleurs ? Ce programme propose des crédits d’impôt pour six métiers de production dans l’industrie.
Ce mode d’apprentissage se prête bien au rehaussement des compétences des experts de métier, voire à l’intégration des petits nouveaux.
Le climat de travail, la communication, le transfert des compétences, la performance de l’organisation dépendent d’un personnel d’encadrement qualifié.
Accroître le niveau des compétences de base (préalables) des travailleurs en emploi peut contribuer dans les défis technologiques, de recrutement et de relève.
Pour que ça marche, l’intégration des nouvelles technologies et l’adaptation de la main-d’œuvre se font en même temps.
Les aptitudes sociales sont un moteur d’innovation. Les compétences préalables, techniques et numériques ne suffisent pas.
Il y a beaucoup de candidats cachés dans le marché du travail parmi des clientèles moins visibles sur le Web.
C’est bien beau embaucher. Mais dans un contexte où la main-d’œuvre est rare, l’entreprise gagne à en prendre soin.
L’autodiagnostic aide l’entreprise à cibler les solutions aux problèmes de production, de main-d’œuvre et de compétences.
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